Je me rappelle une des seules fois où j'ai eu l'occasion de jouer à un JdR... C'était Warhammer (non pas le 40 000!) avec un pote qui avait emmené son livre, pour nous faire tester, à moi et ma copine.
Étant des novices très noviciés, le pote en question a joué le rôle du MJ (note à JiMBo, le pote en question a son pseudo qui commence par Bo et qui finit par by...). Autant dire que la partie fut très... comment dire, mouvementée!
Et vu que j'ai toujours eu une chance incroyable pour foirer les trucs que je fais, autant dire que les dés ne jouaient pas en ma faveur.
Je me rappelle donc, vers la fin de sa mini histoire (ou la fin prématurée, du coup), nous rencontrons un groupe de paysans ensorcelés, voire même zombifiés. Sympa, le MJ nous indique que ces ennemis éventuels sont à peu près aussi fort qu'une quiche molle en plein soleil de mois d'aout. Ne sachant pas si on devait attaquer le groupe, tout de même imposant, ou l'ensorceleur qui les dirigeait depuis une colline, je décide de foncer dans le tas (hein, barbare? bah oui!).
Le MJ me rappelle que je devrais pas avoir trop de soucis (je sais pas ce qu'il avait en tête, mais ça sentait l'incitation au combat quand même) à vaincre ces êtres mous du bulbe.
Manque de bol (l'histoire de ma vie), les quelques échecs critiques qui ont suivis ont fait de moi un martyr. Je ne me souviens plus en détails, mais il me semble bien, entre autre, m'être vautré grandement, et empalé sur ma propre épée. Je n'ai pas le souvenir d'avoir un jour atteint ces zombies de pacotille!
Et si ma mémoire ne me lâche pas, il me semble que l'intervention divine rata, ou fut de courte durée. Bref, imaginez-vous, grand guerrier de la mort qui tue lvl 76, surboosté et équipé comme un char d'assaut, vous faire laminer par ce qui devrait être un papillon neurasthénique.
Partie avortée, fou rire de mes amis qui, il faut le dire, se foutaient bien de ma gu***le...
Je pense d'ailleurs faire bientôt l'acquisition d'un bouquin de la sorte, histoire qu'on remette ça :p
_________________ Tout a une fin, sauf le saucisson qui en a deux.
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